Source
Une animation sur le site académique de Rouen présente une excellente synthèse du cours.
Voir l'animation : "Naissance d'une dorsale, sédimentation et paléomagnétisme associés avec commentaires" Sur le même site : possibilité de télécharger l'animation
Un diaporama sur le site de l'Académie de Nice reprend de nombreuses données vues en 1S et quelques unes qui seront vues en TS : http://www.ac-nice.fr/svt/aster/sismo/thema/rivages/lithosphere.pdf
On a simulé la formation d'un super-continent...
Le cycle de Wilson (abordé en Terminale S spécialité SVT dans le thème de climatologie), qui décrit la formation puis la dislocation d’un supercontinent sur une période d'environ 400 millions d’années, vient peut-être de trouver une explication. Des physiciens pensent en effet en avoir découvert le mécanisme en s'aidant, astucieusement, d’une expérience simple réalisable sur une paillasse.
Tectonique des plaques, un long recyclage...
On sait que la Terre est une immense usine chimique. Une étude publiée dans Nature par une équipe de géologues et géochimistes américains, italiens et australiens confirme une fois de plus qu’elle fait aussi du recyclage. Simon Turner de l’Université Macquarie et ses collègues viennent en effet de prouver que le magma participant aux activités volcaniques de l’archipel des Açores contient des isotopes autrefois inclus dans des plaques datant de 2.5 milliards d’années.
La stabilité des points chauds enfin expliquée ?
Les îles Hawaï et l’Islande sont ordinairement expliquées par la remontée de longs et minces panaches de matière chaude dans le manteau, perçant la croûte terrestre. La formation, et surtout la stabilité de ces panaches dans un manteau en convection, ne sont pas aussi bien comprises qu’on le voudrait. Deux géophysiciennes américaines proposent une explication mathématique.
La convection du manteau terrestre
Depuis des décennies, géophysiciens et géochimistes s’affrontent au sujet de la structure convective du manteau terrestre. Y a-t-il une ou deux couches ? Un chercheur français, Francis Albarède, pense avoir tranché la question, s'offrant le luxe de réconcilier les observations des deux communautés